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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 09:35
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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 22:00
champignon de Paris - couche de moisissure - nappage de blanc - blanc de moisissure
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 22:00
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 10:15
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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 20:48

 

Jean-Claude Nouard a choisi de vivre près de la forêt, parce qu'il savait qu'il ne serait bien que là, il ne serait jamais seul.

Il respire avec la nature et  s'en inspire.

Il s'en imprègne même, la regarde vivre et mourir parfois. Une observation dans le silence, en profondeur jusque dans sa substance, jusque dans sa fibre.

Jean-Claude  Nouard ne transforme pas l'écorce qu'il tient en main, il va l'utiliser pour y mettre sa note, sa fibre à lui.

Son inspiration jaillit sur une feuille de papier, après une gestation incertaine .... son émotion le guide.

sa technique : il utilise des écorces trempées, des bains d'encre, il mouille, intervient avec des pigments, des pastels.

En créant des grands formats, il fait rentrer la forêt dans sa maison.

Pour Jean-Claude Nouard, l'Art doit-être au service de la nature et il cite régulièrement cette déclaration de Pierre Restany qui pourrait être sa devise : "Dans l'espérance de la vie d'un homme, la nature est la mesure de sa conscience et de sa sensibilité".

 

 



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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 06:37
De son verbe facile, de son tempérament à vif, Vassil n’est pas un homme comme les autres.
 D’un homme pas comme les autres à un homme d’exception il n’y a qu’un pas….et je le franchis. !!!!
Quand vous pénétrez dans son atelier,  que vous distinguez à travers une faible lumière qui se diffuse par des  ouvertures de bois vieilli, par la porte entrouverte....
que votre regard plonge vers la petite table de bois brute, vers ces étagères faites de simples planches.
 Le tabouret, les outils et le petit tour, on a du mal à imaginer que c’est ici que tout a germé, que des pièces sont sortie de la terre mère, de la matrice originelle, figées  par la cuisson dans un four à bois… simple, Vassil IVANOFF, avec ses « godillots » sans lacet et sa tignasse mal peignée.
 Ici,  tout vous semble  figé dans le temps et l’éternité, comme si…. il allait revenir, et finir la pièce inachevée, râler sur la dernière cuisson ou sur une banalité de la vie bornoise, dans ce village isolé, perdu au milieu des bois.
Il était comme cela Vassil, dur et entier, taillé à la serpe, à cran comme tous ces hommes de là bas….
  Vassil IVANOFF est un maître, de la terre et du feu, il accompagne  les LERAT et Elisabeth JOULIA dans l’histoire de « la terre contemporaine ».
De ces compositions tubulaires à la matière épaisse, en grès émaillé, de ses plaques  engobées et incisées sur un ton de terre sauvage, de ses  grands vases rouges aux émaux épais avec parfois une petite note d’érotisme. 
 Sensualité, érotisme, caresse de la matière brute, il y a toujours un rappel à la femme, au plaisir, un besoin de cet attachement du corps et de l’esprit, un besoin  aussi de l’écrire dans la terre, un besoin  de toucher, comme pour se souvenir.
 Vassil aimait les femmes, et il a su aussi  se faire aimer d’elles.
Ancien déserteur de l’armée bulgare, il fait parti de ces gens qui ne rechigne sur rien, le labeur du travail, l’expérimentation des matières et des émaux, le besoin de trouver sans jamais ne rien attendre des autres.
 Vassil était tout cela et seul face à ses souffrances, face aux cris de la terre qui se déchire parfois, seul parce que toujours insatisfait!!!
Ces œuvres sont aujourd'hui dans les plus grosses collections, une reconnaissance certes, mais qui ne le préoccupait pas !!! 
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10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 20:12
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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 16:41
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8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 18:42
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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 18:18

« Ce n'est pas un échec ! »

Voilà la déclaration en direct sur France2 de Monsieur Bernard Laporte, notre ministre des sports.

Ce Monsieur est simplement désolé qu'un évènement qui fédère 205 pays de notre planète se termine dans un désordre plutôt  latin.

Monsieur Serandour du comité Olympique  s'insurge aussi qu'un symbole de paix, d'universalité soit pris pour cible et qu'on attribut ce symbole comme un symbole chinois

Mais tous ces gens paient le manque d'engagement pour les droits de l'homme d'une organisation désuète,

ils paient l'absence de décision et se cache derrière le pouvoir des pièces jaunes.

Tiens voilà que notre bon David Douillet s'est fait subtiliser la flamme sans qu'il n'ait mot à dire.

Les chinois n'ont certainement pas apprécié qu'il roule avec un véhicule payé par les « fameuses pièces jaunes ».

Dominici semble lui aussi, un temps soit peu sous le charme de l'empire du levant,  l'appel de la croisière jaune qui ne s'amuse pas sur le parvis de l'hôtel Bourbon, ni sur les champs Elysées, ni nulle part d'ailleurs.

40 députés ont créé la surprise et l'union pour un Tibet libre.

Les officiels chinois (pas risous du tout) en ont fait une jaunisse.

Pourtant les CRS et toutes les polices réunies pour l'occasion ont tabassé, matraqué, cogner et piétiné sans répit jusqu'à la nuit tombée.....

Il y avait un petit Sarkozy dans chacun d'eux !

Mais le karcher était du coté des manifestants et la flamme s'est éteinte ....

La France a frappé un grand coup.

C'est une victoire pour tous et pour le Tibet.

Tiens une chinoise déclare calmement : « la chine aime tout le monde, ce n'est qu'un malentendu.. on va régler çà après ! ».

On a bien compris. On entendra plus parler du Tibet.... et pour cause !!!

Vive le Tibet libre et je vais sur le champ éteindre la flamme du déshonneur !!!

 


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